vendredi 27 août 2010
Chouette, mon vieux hibou de compagnon a trouvé une voisine
voici le bébé chouette effraie qui niche dans la cheminée de la petite maison.
Bebé lechuza campanario que esta dentro de la chimenea de la casita de los caseros.
lundi 23 août 2010
fraisiers et mandariniers
Téa a trouvé des petits plants de fraises sauvages et Sonia a trouvé les mandariniers dont on nous avait parlé et que nous avons cherché longtemps!
Les mandarines sont délicieuses et aujourd'hui Christian est allé dégager tous les arbres autour, qui ont grandi pendant les 20 dernières années et qui les étouffaient!
vendredi 20 août 2010
mercredi 18 août 2010
mardi 17 août 2010
lundi 16 août 2010
Realiser l'impossible...
vendredi 13 août 2010
Honneur, légion d’horreur…
- Je viens de lire dans la presse française que Mr Woerth, alors ministre du budget, avait attribué la légion « d’honneur » à l’expert comptable, Mr B.Godet, qui a certifié les comptes du micro parti « association de soutien à l’action d’Eric Woerth » et ce en 2008 !…
- C’est la même personne qui a aussi attribué la dite « légion » à Mr P. de Maistre (gestionnaire de la fortune de Mme Bettencourt) !…
- Ces deux faits, bien qu’ils puissent paraître anecdotiques, me semblent, par contre, graves dans leur indécence de principe et insultants pour le mot « honneur », mot si beau lorsqu’il est bien conjugué !
- Je voudrais rappeler, avant de poursuivre, sa définition première : « ensemble de principes moraux qui incitent à ne jamais accomplir une action qui fasse perdre l’estime qu’on a de soi ou celle qu’autrui nous porte ». Je voudrais aussi rappeler, si nécessaire, que la légion d’honneur a été instaurée par Napoléon Bonaparte en 1802 afin de récompenser le courage militaire et aussi et surtout selon moi, les vertus et le service civil ! Je voudrais compléter ces deux rappels par ma propre pensée, a savoir que l’honneur c’est d’abord de se soucier des autres tant dans leur santé morale que matérielle et avoir une conduite tant éthique que morale au dessus de tous soupçons ! En un mot, « en vertu des grands principes » se soucier de la veuve et de l’orphelin !
- Je ne vois guère où se situe le courage chez cet expert comptable ni quand des vertus exceptionnelles ont été remarquables au cours de sa vie ou encore de sa carrière (libellé du journal officiel : « 35 ans d’activité professionnelle et de services militaires »). Mais, je manque, peut-être, d’informations !… Si c’est le cas, « faites excuse » !
- Au cours de ma vie j’ai cependant été souvent étonné de voir cette « légion d’honneur » récompenser des personnes où l’honneur n’avait, mais alors, vraiment, rien à voir ! J’ai aussi constaté qu’elle ne « desservait » que nos bons vieux cocardiers, toujours en recherche de gloire, de parades et de prestige. On se croirait revenu à cette triste période de l’histoire de France ou paradaient les bérets noirs, étendard élevé, quand ce n’était pas le bras tendu, et chantant l’honneur de la patrie, fleur rouge à la boutonnière !… Mais où est donc l’honneur dans cette allègre distribution de récompenses ? Où sont le courage, les services rendus au peuple ? Où se cachent donc ces qualités morales, d’éthiques, de justice et de probité ?
- Du fond de ma campagne, j’observe une déliquescence des valeurs. De plus en plus de règles et de lois sont distillées gaillardement par nos élus de tout poil mais jamais, tout du moins sur la petite longueur de ma vie, l’injustice sociale n’a été aussi flagrante, jamais il n’y a eu autant de disparités entre les nantis et les petits, jamais il n’y a eu autant de manipulations médiatiques aussi honteuses qu’hypocrites, jamais la xénophobie n’a tant été encouragée et jamais la constitution n’a été autant en danger !
- Enfin et pour conclure, je veux rendre hommage à ce philosophe, Jacques Bouveresse, qui vient de refuser la légion d’honneur pour ne pas être « en mauvaise compagnie » et qui a déclaré : « rarement un président et un gouvernement n’ont fait savoir aussi clairement à la population que le problème principal à leur yeux était de défendre les riches contre les pauvres et non l’inverse ». LUI a de l’honneur !
CG
- C’est la même personne qui a aussi attribué la dite « légion » à Mr P. de Maistre (gestionnaire de la fortune de Mme Bettencourt) !…
- Ces deux faits, bien qu’ils puissent paraître anecdotiques, me semblent, par contre, graves dans leur indécence de principe et insultants pour le mot « honneur », mot si beau lorsqu’il est bien conjugué !
- Je voudrais rappeler, avant de poursuivre, sa définition première : « ensemble de principes moraux qui incitent à ne jamais accomplir une action qui fasse perdre l’estime qu’on a de soi ou celle qu’autrui nous porte ». Je voudrais aussi rappeler, si nécessaire, que la légion d’honneur a été instaurée par Napoléon Bonaparte en 1802 afin de récompenser le courage militaire et aussi et surtout selon moi, les vertus et le service civil ! Je voudrais compléter ces deux rappels par ma propre pensée, a savoir que l’honneur c’est d’abord de se soucier des autres tant dans leur santé morale que matérielle et avoir une conduite tant éthique que morale au dessus de tous soupçons ! En un mot, « en vertu des grands principes » se soucier de la veuve et de l’orphelin !
- Je ne vois guère où se situe le courage chez cet expert comptable ni quand des vertus exceptionnelles ont été remarquables au cours de sa vie ou encore de sa carrière (libellé du journal officiel : « 35 ans d’activité professionnelle et de services militaires »). Mais, je manque, peut-être, d’informations !… Si c’est le cas, « faites excuse » !
- Au cours de ma vie j’ai cependant été souvent étonné de voir cette « légion d’honneur » récompenser des personnes où l’honneur n’avait, mais alors, vraiment, rien à voir ! J’ai aussi constaté qu’elle ne « desservait » que nos bons vieux cocardiers, toujours en recherche de gloire, de parades et de prestige. On se croirait revenu à cette triste période de l’histoire de France ou paradaient les bérets noirs, étendard élevé, quand ce n’était pas le bras tendu, et chantant l’honneur de la patrie, fleur rouge à la boutonnière !… Mais où est donc l’honneur dans cette allègre distribution de récompenses ? Où sont le courage, les services rendus au peuple ? Où se cachent donc ces qualités morales, d’éthiques, de justice et de probité ?
- Du fond de ma campagne, j’observe une déliquescence des valeurs. De plus en plus de règles et de lois sont distillées gaillardement par nos élus de tout poil mais jamais, tout du moins sur la petite longueur de ma vie, l’injustice sociale n’a été aussi flagrante, jamais il n’y a eu autant de disparités entre les nantis et les petits, jamais il n’y a eu autant de manipulations médiatiques aussi honteuses qu’hypocrites, jamais la xénophobie n’a tant été encouragée et jamais la constitution n’a été autant en danger !
- Enfin et pour conclure, je veux rendre hommage à ce philosophe, Jacques Bouveresse, qui vient de refuser la légion d’honneur pour ne pas être « en mauvaise compagnie » et qui a déclaré : « rarement un président et un gouvernement n’ont fait savoir aussi clairement à la population que le problème principal à leur yeux était de défendre les riches contre les pauvres et non l’inverse ». LUI a de l’honneur !
CG
dimanche 8 août 2010
Des chevaux et des gauchos….
Ce jour, dimanche 8 février (non ce n’est pas une erreur, je tiens à conserver les mois d’hiver à leur place !!) , nous avons assisté à la fête commémorative des 93 ans de la fondation de notre village (le plus proche en tous les cas et de loin…), Pueblo Eden. Je n’ai jamais vu autant de chevaux et jamais une si belle parade toute en simplicité, haute en couleurs, vivante de vérité, complètement imprégnée du quotidien local. Ici ce ne sont pas de simples coutumes que l’on voudrait rappeler pour le bonheur de touristes béats et quelque peu benêts, mais bien une fête de gauchos, fiers de leur travail, de leurs coutumes « ancestrales » (je le met entre parenthèses car elles n’ont que trois siècles…), heureux d’honorer le village et désireux de transmettre ces valeurs simples, belles et terriennes, à leur descendance. Les photos vous montreront bien à quel point, tout petits, ces enfants sont déjà imprégnés de la « tradition » gaucho. Comme le dit Yvonne, on dirait qu’ils sont nés à cheval. Pour égayer ce magnifique défilé, nous avions aussi droit à de la musique locale donc très sud-américaine et le tout dans un parc que bien des grandes villes de France et de Navarre envieraient. Au menu, et cela a de l’importance, cerveza, vino rosado y otras bebidas, et chorizo y asado con cuero et toutes sortes de gâteaux faits maison par les matrones du coin (dont la matrone/colonel Yvonne…) vendus au bénéfice des écoles et de l’association communale. Cette journée a été couronnée par un magnifique ciel bleu et un temps assez clément pour nos vieux os…
- Soit au cours de la peña d’hier au soir, qui s’est terminée pour certains vers quatre ou cinq heures du matin avec un peu de tangage et de vent dans les voiles, et ce jour, nous avons pu rencontrer et faire connaissance avec quelques habitants ainsi qu’avec des « étrangers » qui, comme nous sont tombés amoureux de ce petit pays. J’ai aussi pu parler « français » avec quelque compatriotes et je dois vous dire que cela fait du bien, quelques fois, mais pas trop longtemps. Je ne supporte plus guère la foule ou, tout du moins, pas trop longtemps !
Bien le bonsoir et bisous à tous d’Yvonne et de Christian
CG
vendredi 6 août 2010
Jardin potager - Huerta
Hoy pasamos toda la tarde limpiando el terreno de la futura huerta y Christian hizo la puertita de entrada, todo con material de recuperacion, y bambus de nuestro terreno, falta agregarle el alambrado para que no entren las liebres... tambien va a hacer una portera igual pero mas grande para poder entrar con el tractor del otro lado de la huerta.
Aujourd'hui, nous avons passé l'après midi à nettoyer notre futur jardin potager et Christian a fait le portillon de la photo, tout avec du matériel de récupération et des bambous de notre terrain, il faut encore rajouter le grillage pour que les lièvres ne puissent pas rentrer... il va aussi faire un portail de la même façon, pour l'autre côté du jardin où il rentrera avec son tracteur.
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