samedi 24 août 2013

Tout n'est pas parfait dans notre jardin d'Eden

Mercredi une brebis a mis bas, encore des jumeaux, mais un était mort. L'autre une petite femelle, se porte bien, mais voilà que sa maman est morte hier, on pense suite à une infection après la mise bas, ou bien un morceau de placenta qui soit resté...

Hier branle bas de combat, pour trouver de la chaux vive, biberon, lait de remplacement pour animaux. Moi aux courses, Christian à faire le trou pour enterrer la pauvre bête. Et ensuite la galère pour faire boire la petite Naia, au bib. Il faut dire, qu'heureusement elle n'a que trois jours, et elle s'est habitué très vite, dès ce matin, elle boit 200 ml presque d'un trait. Seul problème, elle passe des longues heures sans boire, dès que nous nous couchons jusqu'au réveil. Elle ne devrait pas avoir trop froid car la nuit elle dort dans une niche bien fourrée de paille et porte fermée.

Nous et les chiens sommes sa maman, elle nous suit partout, et par moment fait quelques séjours dans la maison!

Tout n'est pas gagné, elle a certainement moins de probabilité de vie que les autres agneaux nourris à la demande et protégés par leur mamans.
On croise les doigts pour que tout se passe bien.

mardi 13 août 2013

Pour l'instant

nous avons 8 agneaux, 4 fois des jumeaux et ils se portent toujours bien!
Il reste encore 3 brebis qui doivent mettre bas.




















Côté basse cour, une cane a eu 5 petits et il y en a trois qui couvent...
il va falloir agrandir le poulailler!

Fête de Pueblo Eden

Dimanche on fêtait les 96 ans du village.
Beaucoup de monde, un grand défilé de chevaux ... mais, comme je devais aider à vendre des gâteaux sucrés et salés, je n'ai pas pu faire des photos...
Voici Tea et moi "au travail". Comme vous voyez il faisait froid!!!
photo prise par nos amis Annie et Konni

mercredi 7 août 2013

Les premiers agneaux 2013

sont nés ce matin, en avance d'une dizaine de jours d'après mes calculs,
ils sont jumeaux et noirs

le petit de droite, me fait un peu souci, car je ne l'ai pas vu bouger... je vais aller faire un tour pour voir ce qui se passe

TOUT VA BIEN, j'ai vu les deux débout, têter et bouger leur queue

La chacra vue du ciel, suite

la maison vu du côté de l'hangar
la petite tâche rouge entre les arbres est le toit du poulailler

juste au dessus de la maison, Maria, sa maman et moi sommes dans le patio en train de regarder la bête qui nous prend en photo
A droite, des voitures, René qui pilote son engin, et Christian et moi qui regardons les images sur l'écran de l'ordinateur

Onkaiujmar vue du ciel....

Photos prises hier par notre ami René, avec le drone qu'il vient d'importer
a gauche le premier verger, à droite la petite maison, au fond le hangar


A droite, de l'autre côté de la route, on voit notre voisin Cruz del Sur
l'étang, on voit quelques brebis éparpillées et une des juments, en bas de la photo à côté des arbres




Deuxième verger et derrière la haie, une partie de mon potager

la maison est cachée derrière les arbres, mais à droite on voit le deuxième verger


dimanche 4 août 2013

quelques photos de l'intérieur du Marché








MAM Mercado Agricola de Montevideo

vient d'être recyclé et inauguré à l'occasion de ses 100 ans. C'est un magnifique édifice, et belle promenade, on y trouve des primeurs, ainsi que de la viande, volaille, lait, fromage et possions, une maison spécialisée en thés, une autre en chocolats, des fleuristes, de la bière artisanale, de l'hydroculture, des restaurants et cafés, ainsi que plein d'autres petits magasins et services. Des salles de spectacle et théâtre sont aussi en construction. Il est ouvert de 8 h a 22 h, et commence a redonner une nouvelle vie à un quartier qui était devenu malfamé.

Pour ceux qui comprennent l'espagnol, voici un peu d'histoire... trop la flemme pour tout traduire... désolée




" En 1903 cinco ciudadanos deciden donar parte de sus terrenos con diferentes ubicaciones convencidos de la necesidad de tener un Mercado Agrícola adecuado a las necesidades de la época y con los últimos adelantos en la materia.
La Junta Económica Administrativa fue la encargada de decidir entre las cinco propuestas y es así que en 1905 el municipio publica las bases de un llamado a concurso para la construcción de un mercado mayorista, en el predio donado por el Sr. Carlos Crocker, que era un hacendado del Departamento de Soriano y miembro fundador de la Asociación Rural del Uruguay.
Las condiciones del llamado exigían:
·                   Economía de los medios
·                   Rigurosa higiene
·                   Amplio espacio interior a los efectos de asegurar el tránsito vehicular, dado el fluido y voluminoso acopio de producción agrícola.
El proyecto seleccionado fue el de los Arquitectos Antonio Vázquez y Silvio Geranio.
La piedra fundamental se coloca en 1906 y se comienza su construcción, que se extiende hasta 1912, con la habilitación definitiva del edificio para funcionar en 1913, aunque la inscripción en el acceso al edificio por José L. Terra, figure 1910.
En el año 1999, es declarado Monumento Histórico Nacional.
En años posteriores el Mercado sufre dos ampliaciones, una en 1929, según los planos del Arquitecto Bueaventura Addiego, quien incorpora cámaras frigoríficas y otros servicios sobre la calle Juan José de Amezaga, lo que modificó el aspecto exterior del edificio en ese sector.
Una segunda ampliación se realiza en 1945 de acuerdo al proyecto del Arquitecto Ricardo Fernández Lapeyrade, quien propone construir un bloque simétrico similar al anterior, pero sobre la calle Martín García, este último se demolió y es donde está hoy el estacionamiento.
La obra ha sido estimada en su origen como el mercado más vasto y arquitectónico de América Latina en su género. Es el último de los grandes mercados construidos en hierro en Montevideo, que cuenta además con el Mercado de la Abundancia, ubicado en el centro de la ciudad, y el Mercado del Puerto ubicado en la Ciudad Vieja.
Sobre el ingreso de la Calle José L. Terra, se puede apreciar, las columnas, el basamento y la mampostería con su ornamentación y sus molduras de corte modernista por ejemplo rosetones, curvas, arabescos, almohadillados, este muro que da sobre la calle Martín García ha sido reconstruido como era originalmente.
La gran carga decorativa del edificio se encuentra en la entrada de José L. Terra, un delicado trabajo realizado en cerámica policroma europea, única en el Mercado, donde luce en su parte central el escudo de Montevideo, rodeado de motivos florales. También se puede apreciar en el centro el torreón estilo campanario rematado en una aguja, donde también es posible apreciar una rosa de los vientos y una veleta.
El edificio original, posee además en sus cuatro esquinas falsos torreones que también culminan en una aguja.
En el interior del techo se puede visualizar que su aspecto arquitectónico se resuelve en base a dos rectángulos concéntricos de ejes coincidentes. La obra saca partido interior y exteriormente de la formalización estructural, en la que se logra un espacio de bastas proporciones y de gran riqueza, donde las transparencias lumínicas juegan un importante papel.
La gran estructura de hierro de 5.867 metros cuadrados, se trajo de Europa, donde había servido en Bruselas para una exposición ganadera.
El origen de la estructura explica, que las entradas estén adornadas con cabezas de ganado vacuno. Los grandes pilares, sostienen un techo compuesto por varios otros techos a la vez, separados en tres anillos, que se quiebra en perfectas proporciones, permitiendo la ventilación e iluminación del interior desde las alturas.
En el techo la estructura de tirantería, madera y lambrices fue sustituida en su totalidad por piezas de idénticas dimensiones, colocadas en la misma posición que las primitivas.
Las chapas originales ya habían cumplido su función y fueron sustituidas por chapas aluminizadas de idéntico tamaño y forma de sujeción.
El muro se remata en una balaustrada con vitrales, y     en el caso de los parteluces, se optó por vidrios enteros serigrafiados a franjas, esto permite una mejor hermeticidad del recinto, regulando el ingreso de luz solar y evitando el ingreso del agua de lluvia."
détail des fenêtres

Détail des pavés

15 nouvelles éoliennes

vont être construites sur la Sierra de los Caracoles. Il y en a déjà 7 débout, dont trois sur le terrain de notre ami Gérard qui a des plantations d'oliviers.



Nous avons vu un des morceaux sur le camion et par la suite, deux camions devaient tirer le tout sur la crête.