samedi 31 décembre 2011

Une nouvelle année fertile?...

- Ma manière à moi de vous présenter tous mes vœux. Cette manière rejoint entièrement ceux de ce nouveau berger du peuple tunisien. Ils rejoignent aussi un grand bonhomme honoré par ce même président, je veux citer Monsieur Stéphane Hessel que je salue au passage. Son petit livre « indignez-vous » ne saurait laisser indifférent ! Et, pour accompagner cette honorable petite assemblée, je souligne la persévérance du créateur du journal Médiapart, le courage de ce révolutionnaire qui se bat contre de mauvais vents, contre de vilaines marées exhalant la putréfaction et le tout sur une petite coquille de noix bien fringante, son journal. Monsieur Hessel nous enjoint de nous "indigner", Monsieur Plenel, puisqu'il s'agit de lui, nous demande de nous réveiller!
- Que ces personnes en particulier, et tous ceux dont le cœur bat pour l’humanisme, la liberté et la justice, passent une année 2012 qui réalise un peu, beaucoup, pas assez, leurs aspirations.
CG

- Voici le texte des vœux de Monsieur Marzouki publiés par Médiapart:
Le texte des vœux d'espoir du président Marzouki
Voici la retranscription des vœux de Moncef Marzouki, président de la République tunisienne, recueillis par Mediapart au palais de Carthage, le 27 décembre 2011:

«Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Quand le journal Mediapart m'a demandé de m'adresser à vous, de vous adresser mes vœux pour 2012, j'ai commencé par trouver l'idée un peu bizarre, un peu originale. Pour quelle raison un chef d'État étranger s'adresserait-il à un autre peuple pour lui présenter ses vœux, et au nom de quoi? Et puis, j'ai trouvé l'idée intéressante, ne fût-ce que parce que justement elle est originale.
C'est pour moi un plaisir et un honneur de vous adresser justement ces vœux, dans la mesure où il semble que ce soit une tradition qui est instituée par le journal et que cette tradition a débuté par un grand homme, pour lequel j'ai le plus grand respect, qui est Stéphane Hessel; et certains d'entre vous se souviennent peut-être qu'en 2011, il avait appelé de ses vœux que 2011 soit l'année de la résistance, l'année de l'indignation et l'année d'une révolution pacifique.
Or c'est exactement ce qui s'est passé, ici en Tunisie: nous avons vécu une révolution pacifique et démocratique, nous avons vécu l'indignation de tout un peuple contre une dictature corrompue, et nous avons vécu aussi la joie de voir enfin la démocratie s'installer dans notre pays.
Alors que souhaiter pour 2012, à la fois pour vous et pour nous?
D'abord, que 2012 aille jusqu'au bout parce que vous savez sans doute que certains parlent de la fin du monde en 2012… Oui, j'aimerais bien la fin d'un certain monde, un monde de la corruption, de la brutalité, de la guerre… Mais il ne faut peut-être pas rêver… L'essentiel c'est que 2012, qui ne sera probablement pas la dernière année de ce monde fort heureusement, que 2012 nous apporte, à vous et à nous, ce que nous souhaitons de plus profond.
Ce que j'aimerais souhaiter au peuple français pour 2012 ? Que cette année ne soit pas trop dure pour lui au plan économique et social, je sais que vous avez aussi vos ennuis; que les élections se passent bien et que, mon Dieu, certains politiciens n'utilisent pas trop la carte de l'islamophobie car ce serait vraiment un choix qui n'aurait aucune valeur. La France n'est grande que dans la mesure où elle reste le pays d'accueil, le pays de refuge, le pays de la tolérance, le pays de la diversité culturelle et je souhaite effectivement que ces élections se passent au mieux sans que nos concitoyens ou les étrangers en fassent les frais, surtout qu'aujourd'hui de l'autre côté de la Méditerranée les peuples arabes se réveillent à la dignité. Cela évidemment n'aurait pas un impact positif sur les relations de nos peuples.
Ceci étant je voudrais vous dire que ce côté-ci de la Méditerranée, nos peuples se réveillent à la démocratie, aux valeurs des droits de l'homme, à la tolérance, et que nous allons tout faire pour que ces liens historiques entre nos deux nations se raffermissent encore davantage, que ces liens soient de plus en plus forts, de plus en plus imbriqués, de telle façon que nous puissions un jour faire cette union euro-méditerranéenne, l'union euro-méditerranéenne des peuples, des cultures, et pas seulement des États.
Donc je vous souhaite à tous, en tant que Français, que cette année soit magnanime et que vous puissiez venir aussi nous voir, accompagner cette révolution démocratique qui est aussi un peu la vôtre parce qu'enfin, des deux côtés de la Méditerranée, nous allons pouvoir partager les mêmes valeurs, les mêmes idéaux, et que ceci va faciliter la vie commune.
Maintenant, j'aimerais adresser mes vœux individuels à chacun d'entre vous. Vous dire que je suis bien placé pour savoir à quel point la vie peut être dure pour certains: j'ai connu l'exil, j'ai connu la misère, j'ai connu les prisons… Je sais donc à quelle point la vie peut être dure et ingrate pour certains, mais je sais aussi à quel point elle peut récompenser l'effort, à quel point elle peut être magnanime et généreuse, si l'on continue à croire en elle, à croire en soi.
Je souhaite que vous continuiez à croire en la vie et à croire en vous.
Bonne année 2012 pour tous.»

N'oubliez pas que

"Toute la valeur de l'être humain tient à cette faculté de se surpasser, d'être en dehors de soi, d'être en autrui et pour autrui". Milan Kundera

"...on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux" Antoine de Saint-Exupéry

"Les petites choses n'ont l'air de rien, mais elles donnent la paix" Georges Bernanos

Sur ces belles pensées, je vous souhaite une bonne et heureuse année 2012 et je vous embrasse tous! Yvonne

vendredi 23 décembre 2011

J'ai pu les compter....


ce sont 14 cannetons, tous mignons.

et au "premier étage" vous pouvez voir canne 2 et poule sur ses oeufs respectifs

Je m'étais promis "que l'on ne m'y reprendrait plus" mais...

- Je suis toujours convaincu qu'écrire ne sert absolument à rien si ce n'est à alimenter un tout petit peu sa propre vanité! Je n'ai cependant pas pu résister à ce démon et vous voudrez bien me pardonner, une fois de plus!
- Je souhaite à tous, en bon conformiste que je tente d'être, de très beaux instants de vie à l'occasion de ces vacances dites de "fin d'année". Mon amitié vous est fidèle et mes pensées aussi.
CG

Biens qui ne profitent qu'à certains "autrui"?...

- Je ne cherche pas, au travers de ces quelques propos, à mettre en cause une ou des personnes en particulier mais plutôt un système qui perdure et qui cause bien des injustices.
- Je constate, en effet, ce depuis des décennies et plus particulièrement aujourd’hui, qu’en général, toutes les professions qui créent de la vraie valeur aux choses ou bien qui ajoutent de la valeur à ces mêmes choses vivent de leur labeur mais ne parviennent que rarement à devenir un tant soit peu « riches » et aisés, contrairement au temps passé. Ce n’est certainement pas par manque d’intelligence ou encore par manque de compétences ! Encore moins par manque de créativité, de courage, ou encore par manque d’ambition ! ( sous réserve de placer le mot "ambition" là où il le faudrait!) Loin s’en faut !… Assez curieusement, ils n’en profitent que peu, ces artisans, paysans, entrepreneurs industrieux, vrais industriels, ouvriers et manufacturiers. Ce sont pourtant eux qui contribuent à l’essentiel de nos besoins !
- Par contre, mon environnement social actuel montre, voir démontre, combien les professions qui spéculent et profitent de ce travail réalisé par ces mêmes « laborieux », s’enrichissent rapidement et peuvent ainsi mener une vie assez douce, en tous les cas sans pénibilité avérée. Ce n’est pas pour rien, par ailleurs, que les mêmes « laborieux » vivent en moyenne 7 à 9 ans de moins que les « autres ».
- Ce qui a déclenché ces quelques propos c’est en premier lieu la lecture d’une proposition publiée dans « Le Monde » de Monsieur Martin Hirsch et, d’autre part, de constater que nombre de nos voisins et connaissances oeuvrent presque tous dans le monde du "commerce". Et qui est « trader », et qui importe pour mieux revendre, et qui gère les capitaux de nantis, et qui organise le travail d’autres, et qui… Toutes ces connaissances, absolument toutes, ont un niveau de vie bien supérieur aux laborieux de notre entourage. N’y voyez pas de jalousie, s’il vous plaît, je ne les envie pas et suis trop heureux de réaliser par moi-même mes envies, d’assouvir humblement mes passions et de « gagner » ma vie au prix que je crois juste.
- Question : est-ce juste et équitable ? Je crois que l’article de Monsieur Hirsch y répond on ne peut mieux et je me permets donc de le joindre à ce petit mot. Le voici donc :

Point de vue | Terra Nova | 22.12.11 | 13h01
par Martin Hirsch et Sandra Desmettre, coprésident et rapporteure du rapport "Pour une régulation des hautes rémunérations" (pour Terra Nova)
Depuis le début de la crise, les condamnations pleuvent sur les très hautes rémunérations mais les dénonciations visent le plus souvent des cas individuels et n'ont pas produit de grands effets. Au cours des vingt dernières années, les 10 % de rémunérations les plus élevées ont capté trois quarts de l'augmentation de la valeur ajoutée en France. Dans le même temps, l'augmentation du smic et des prestations sociales a permis une augmentation du revenu des 10 % des salariés les plus modestes, alors que la situation relative de 80 % des salariés se détériorait. Les augmentations ont été particulièrement marquées dans le secteur de la finance. La rémunération moyenne des dirigeants de banques a ainsi bondi de 45 % en 2010.
Le maintien d'écarts aussi élevés entre les rémunérations pose un problème de justice et de cohésion sociale, d'autant plus aigu que la crise se prolonge. Il serait logique de penser que des salaires exceptionnels viennent rémunérer des performances exceptionnelles. Or, les études statistiques montrent qu'il n'y a pas une corrélation nette entre les deux. Après guerre, les dirigeants de société ont fait croître les économies européennes à des taux nettement supérieurs aux tendances actuelles, tout en percevant des rémunérations très largement inférieures. L'argument de l'existence d'un "marché international des dirigeants" justifiant le montant des rémunérations n'est pas vérifié par les trajectoires observées. De plus, la concentration des richesses est défavorable à la croissance : dans la mesure où le taux d'épargne est croissant avec les revenus, elle handicape la consommation intérieure.
HAUTES RÉMUNÉRATIONS ET DÉPENSES SOCIALESIl ne s'agit donc pas seulement d'un problème moral mais bien d'un problème économique, social et de finances publiques. Quand les bénéficiaires de hautes rémunérations ou ceux qui les défendent sont appelés à se prononcer sur une éventuelle régulation, et sur une perspective d'imposition supplémentaire, ils rétorquent généralement que telle n'est pas la priorité et que la France devrait commencer par réduire ses dépenses publiques, plutôt que de prélever des impôts supplémentaires. On peut pourtant démontrer que la captation de la plus grande part de la création de richesse par les très hautes rémunérations contribue à la nécessité d'un niveau de dépenses sociales élevé et porte ainsi une responsabilité – directe et indirecte – dans le niveau des déficits publics.
C'est le message qu'exprimaient cet été les salariés d'une grande entreprise du textile, dont le siège est à Roubaix. Ils ne comprenaient pas pourquoi la plupart d'entre eux étaient éligibles au RSA en complément de leur salaire – à peine supérieur au smic après 15 ou 20 ans d'ancienneté – alors qu'ils avaient lu que leur patron figurait au top du palmarès des rémunérations, avec pour l'année 2008, stock options comprises, une rémunération de 23 millions d'euros. Ils avaient fait un calcul simple : si la rémunération de leur patron avait été réduite à 1 million d'euros et le surplus réparti entre les salariés, c'est l'entreprise qui aurait versé l'ensemble de leurs revenus et non pas, pour partie, la solidarité nationale. Ainsi, dans un certain nombre d'entreprises, à masse salariale égale, une meilleure répartition des rémunérations aboutirait à réduire la part des prestations sociales versées aux salariés les plus modestes.
On peut trouver d'autres exemples plus sectoriels : c'est la redevance versée par les contribuables qui paye les rémunérations confortables des animateurs et des producteurs de la télévision publique. Ce sont les cotisations maladie qui payent les rémunérations des dirigeants de l'industrie pharmaceutique. Si on prend les 100 plus hautes rémunérations des groupes d'énergie, on tombe sur des ordres de grandeur qui représentent une part non négligeable de ce que l'Etat verse pour compenser le tarif social du gaz ou de l'électricité.
A ces effets directs des hautes rémunérations sur les dépenses publiques, on peut ajouter des effets indirects, liés aux conflits d'intérêts. Lorsque certains responsables publics, qu'ils soient parlementaires ou experts, gagnent davantage d'argent à travers leurs rémunérations privées qu'à travers leurs émoluments publics, il en résulte que, dans les décisions qu'ils sont conduits à prendre et les avis qu'ils rendent, ils peuvent, consciemment ou inconsciemment, faire pencher l'aiguille davantage du côté des intérêts privés. Autre effet indirect sur les dépenses publiques, désormais mieux connu : le mode de rémunération des traders, lorsqu'ils spéculent sur les dettes publiques. La crise actuelle est en partie liée aux incitations très fortes à la prise de risques qui découlent des mécanismes de rémunération de ceux qui opèrent sur les marchés financiers.
Peut-on objecter que les plus hautes rémunérations sont aujourd'hui tellement imposées qu'elles font rentrer dans les caisses publiques des montants supérieurs aux coûts qu'elles engendrent ? Non, certainement pas. Le barème de l'impôt sur le revenu, conjugué aux niches fiscales, et complété par la plus faible imposition de certains éléments de rémunération, conduit à des taux d'imposition qui sont relativement faibles (20,5 % pour les 0,1 % les mieux dotés, 17,5 % pour les 0,01 % les plus riches). Mais la taxation ne doit pas être le seul remède. Il y a en effet quelque chose d'insatisfaisant à maintenir un aussi fort étirement de l'échelle des salaires, dans la société en général comme dans chacune des entreprises.
LES MESURES À PRENDRE DANS L'ENTREPRISE ET DANS LA SOCIÉTÉ EN GÉNÉRALNotre conviction est que l'outil fiscal doit aller de pair avec d'autres leviers. Dans l'entreprise, il faut tout d'abord contrer l'effet "cercle fermé" lié à ce que les plus hautes rémunérations sont de fait fixées par des comités de rémunération constitués d'un nombre restreint d'administrateurs, cumulant souvent plusieurs mandats. Pour neutraliser cet effet, nous proposons deux mesures : l'une consiste à obliger les plus hautes rémunérations à être soumises à l'assemblée générale des actionnaires, après que le comité d'entreprise a émis un avis sur les critères de rémunération. La deuxième mesure, de portée plus large, devrait être de limiter le nombre de mandats pouvant être détenu par un même administrateur.
Au sein d'une rémunération, ce qui relève du salaire et ce qui correspond à des éléments d'intéressement devrait être nettement distingué. Au-dessus d'une certaine somme, la rémunération correspondant à la création de valeur ne devrait être constituée que d'une participation à long terme dans l'entreprise.
Il devrait également être mis fin aux autres formes de rémunérations pouvant donner lieu à des opportunités fiscales, lorsqu'elles ne sont pas soumises aux mêmes règles d'imposition que les salaires. Les retraites chapeaux n'ont pas été supprimées avec la réforme des retraites alors qu'elles constituent des rentes qui n'ont été alimentées par aucune cotisation ou épargne.
Au-delà de ces règles spécifiques aux très hauts salaires dans les entreprises cotées, l'imposition des hautes rémunérations serait renforcée pour tous les très hauts revenus. Il est incohérent de se déclarer choqué par les très hautes rémunérations et d'être en même temps hostile à des taux d'imposition supérieurs à 50 % au-dessus d'un certain montant de revenus. Nous proposons donc de relever le taux marginal à 50 % au-dessus de 100 000 € par part et à 60 % au-dessus de 300 000 €, ce qui rapporterait 1,3 milliards d'euros par an.
Dès lors que l'on admet que le montant des hautes rémunérations, avant et après impôt, a un impact sur l'ensemble de la société, il est légitime de ne pas laisser les seuls intéressés délibérer de ce sujet. Une conférence sur les hautes rémunérations, donnant lieu à un débat entre partenaires sociaux, élus, pouvoirs publics et économistes, pourrait être instaurée pour éclairer les décisions qu'il reviendrait aux entreprises de prendre sur le montant des rémunérations, et celles qu'il appartient aux pouvoirs publics de prendre en matière d'imposition.
Ces mesures devraient être complétées par une clarification des rémunérations des responsables publics. Pour ceux qui sont investis de mandats ou de responsabilités publiques, rien ne s'oppose à ce que le montant réel des rémunérations soit public et corresponde à des barèmes dont les règles soient connues de tous, auxquels s'appliquent des plafonds tout compris.
Est-ce qu'adopter ces mesures aurait comme conséquence qu'il serait impossible de devenir riche en France ? La réponse est bien évidemment non. Il serait toujours possible de le devenir, mais en créant de la valeur. Ce ne serait pas la fin de la richesse. Ce serait simplement la fin d'une certaine forme de rente.
Martin Hirsch est ancien président d'Emmaüs France, ancien haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté.

Joyeux Noël… CG

mardi 20 décembre 2011

la deuxième "fournée" de petits canards

est arrivée... j'ai vu le premier hier soir, et ce matin il y en avait d'autres. Je n'ai pas pu les compter, car maman canne les garde bien sous ses ailes. Il y en a de toutes les couleurs.... noirs, gris, jaunes, couleurs melangées. Il me tarde de les voir dehors pour les prendre en photo, ou que maman se décide à sortir du nid.

Canne n° deux et poule continuent dans leur nid

samedi 17 décembre 2011

Etals des pêcheurs




au Port de Punta del Este

Lobos marinos y gaviotas





des mouettes sur le dos des lobos marinos de presque 3 m au port de Punta del Este.
Ils sont situés à un endroit très stratégique, juste à côté des étals des pêcheurs qui font les filets et jettent les restes à l'eau. Un festin pour les bêtes.
Il y avait au moins 4 lobos marinos d'une taille assez impresionnante.

Les nouveaux petits canards ne devraient pas trop tarder


alors il faut faire de la place au poulailler. Nous avons 4 magrets et j'ai fait du confit de canard! Il reste encore 8 canards à zigouiller

jeudi 15 décembre 2011

Farol


Nous avons maintenant une lumière pour la porte d'entrée... un an et demi après...
Ce Farol, ainsi que deux autres, nous les avions achetés à la Feria de Tristan Narvaja, il y a longtemps, Christian les a remis en état et installé le premier. Les deux autres sont prévus pour deux faces de la tour.

mardi 13 décembre 2011

dimanche 4 décembre 2011

en parlant de plantes....

deux excellentes nouvelles!

Jaques et Christine, les pieds de vigne que nous avons amené de votre jardin ont des bourgeons et des feuilles!

Manolo et Gérard, des 10 graines de flamboyant que j'ai planté, il y a 3 petits flamboyants qui poussent.

Merci à vous!

en pleine recolte

de haricots, concombres, roquette, petits pois, navets, carottes, betteraves, courgettes, zapallitos, épinards, petits pois mange tout.... je passe toute la matinée au potager!
Les melons poussent plein pot, ainsi que les tomates, mais il faut encore attendre qu'ils mûrissent.

On en a dix fois de trop, alors on mange presque végétarien... on congèle et on offre.

un sacré bazar au poulailler....

une des cannes entame sa dernière semaine de couvaison avant que les canards sortent... mais j'ai une poule qui s'est mise à couver des oeufs de canard il y a quelques jours, alors, moi qui voulait avoir des poussins, je lui ai aussi mis des œufs de poule.... aussi la deuxième canne a arrêté de pondre, alors je me suis dit qu'elle était prête à couver, et j'ai rempli un nid avec une quinzaine d’œufs de canne que j'avais mis de côté. Quelle n'a été ma surprise quand je suis rentrée au poulailler ce matin..... canne numéro 1 est toujours dans son nid à pied ferme, et j'espère mènera ses petits à bon terme, canne numéro 2, a chassé la poule qui couvait les oeufs de canne et de poule et s'est mise à couver ce nid là, mais... elle a mangé les oeufs de poule, je n'aurai donc pas des poussins.... et la poule chassée, s'est consolé avec les 15 oeufs de canard que j'ai mis dans le nid hier, elle semble les avoir adopté et couve aussi

samedi 26 novembre 2011

Tonte des brebis



Hier Leslie et Mario sont venus tondre nos brebis. 20 kilos de laine

rencontre


avec Mireille, Jean François et Jorge. Il ne manquait que toi Cristina! Nous t'attendons l'année prochaine!

surf à rame?

première fois que je vois le pratiquer



a la rencontre avec la vague


Vague trouvée!

jeudi, première plage



à Montoya, La Barra
la plage presque pour nous,
l'eau encore frisquette pour moi, mais mon jurassien s'est baigné.

Rallye sud américain devant notre porte....





Le week end dernier nous avons eu droit à deux jours de rallye sur la Ruta del Olivo (notre piste)le départ était à 1km avant notre maison. Nous avons eu des spectateurs qui ont campé et fait leur asado juste devant notre entrée.
Samedi soir il a plu pas mal, la route était bien glissante dimanche, je ne vous explique pas l'état de la piste après la course....

mardi 15 novembre 2011

Epreuves




de dextérité "gaucha" à l'exposition rurale de San Carlos

Défilé de mode





pour l'inauguration du Centre Communal de Pueblo Eden

L'essaim capté le 7 novembre



avait hier déjà totalement construit les dix cadres du corps de ruche, et avait commencé à construire un deuxième étage sous le toit. Christian a enlevé la construction "sauvage" voir photo et placé deux rehausses supplémentaires avec des cadres. Avec beaucoup de patience et utilisant mon essoreusse à salade, Christian a extrait les deux pots de miel produit par "nos" abeilles!

lundi 14 novembre 2011

Ca y est

canne n°2 s'est mis à couver! Je lui ai mis 13 oeufs en espérant que cette fois-ci elle n'abandonnera pas le nid... je garde les autres au cas où canne n° 1 se décide à couver aussi!

mercredi 9 novembre 2011

Et de deux....


Christian a bien fait de fabriquer une belle ruche, qui nous a permis de capturer un deuxième bel essaim.

Appréciez le montage (échelle et chaise) pour placer la ruche à la hauteur où rondaient les éclaireuses!

mardi 8 novembre 2011

un délicieux pain fait maison


pas besoin de machine à pain, ni de pétrir!
Le seul secret, avoir une cocotte en fonte avec couvercle, du style Le Creusot ou similaire, et attendre à peu près 16 h que la pâte lève bien.

La recette:
800 gr de farine ( je mets 200 gr de farine complète, et 600 gr de farine blanche)
3 CS graines (lin, sésame, tournesol)
3 cc sel (attention à ce que le sel ne touche pas la levure)
2 cc levure sèche
600 cl d'eau

mettre la farine dans un grand saladier
faire un creux au milieu, y mettre la levure
le sel sur la farine autour
ajouter l'eau au milieu, petit à petit et bien touiller jusqu'à ce que vous obteniez une pâte très collante.
Couvrir avec un film étirable et laisser reposer pendant 16 à 18 h. La pâte double de volume.
Allumer le four, y mettre votre cocotte vide pour qu'elle chauffe bien
mettre de la farine sur le plan de travail, renverser votre pâte à pain, couvrir de farine et faire plus ou moins une boule

Sortir la cocotte du four, y mettre un peu de seigle, mettre le pain dedans, saupoudrer de seigle ou farine complète. Couvrir, mettre au four chaud environ 30 min, ensuite enlever le couvercle, et cuire encore 15 min.

des nouveaux habitants à Onkaiujmar


quatre petits poussins doble pechuga

Radis bien croquants



et une plante de fruits de la passion que j'espère se développera comme il faut!

Premier essaim


capturé, sur le toit de la maison.

Nous en avons un autre qui s'est installé entre le volet et la fenêtre de la chambre d'amis. Il n'est pas encore "mis en boîte". Christian attend encore, pour éviter de faire un carnage trop important.

pour Simone


La première rose de cette année. Il s'agit d'une bouture d'un rosier de Téa que j'ai planté l'année dernière. Il avait déjà fleuri l'année d'avant, mais les roses étaient plus petites. En ce moment, il a 4 roses d'à peu près cette taille et un joli bouton.

lundi 7 novembre 2011

Histoires de cannes

Vous vous souvenez que la deuxième canne avait arrêté de couver et avait piqué les cannetons à la vrai maman?

Et bien, apparemment la Maman a pris le dessus et recupéré ses petis. Dépitée, canne numéro deux s'est remis à pondre.

Comme les petits sont presque indépendants, quelques jours après la maman canne a commencé à pondre aussi!
Nous avons déjà 18 oeufs de canne et attendons qu'il y en ait une qui se décide à couver.

scènes érotiques au poulailler




un peu sadique le mâle qui lui tire les plumes de la tête

Para Sonia



voici la taille des bébés canards le 23 septembre, jour de leur naissance.



et la deuxième photo montre comme ils sont aujourd'hui, après un mois et demi.
En premier plan il s'agit de maman canne, vous pourrez donc apprécier que les petits vont bientôt rattraper maman