mardi 27 avril 2010

Un brin de chagrins au paradis… Una brizna de pena en el paraiso…


- D’une aurore à un crépuscule, de petits nuages sont venus nous rappeler qu’en ce bas monde, ces petits grains de mer sont nécessaires à nous faire mieux prendre conscience de notre bonheur.
- Cela a commencé par une petite griffure du dieux des mers, le bien nommé Neptune, avec une panne de pompe d’eau. Eau combien nécessaire puisque c’est notre Dame la Terre qui nous l’offre depuis ses profondeurs bienfaisantes (délicieuse de surcroît !). Puis, pour accentuer un peu plus cette première inquiétude, ce fût Zeus qui se mit à l’ouvrage, en provoquant un court circuit dont il a fallut déterminer la source avant de pouvoir faire taire ce maître de l’énergie. Nous pensions en avoir terminé, hélas, ou tant mieux, c’est selon, quand Eole se mit lui aussi de la partie en ayant crevé ( Lui ou une diablesse d’épine à son service) mon pneu de tracteur. Vulcain, qui ne voulait pas être en reste, lorsque nous avons voulu allumer pour la première fois notre cuisinière à bois, la fît fumer à qui mieux mieux, par tout ses pores, à un point tel qu’un épais brouillard assez désagréable a envahi notre cuisine/salon/salle à manger. Après gesticulations, vérifications, réflexions, un peu de « grimpe » sur la cheminée, comme diraient nos amis savoyards, nous avons constaté que nos braves ouvriers d’Uruguay avaient probablement un tantinet bâclé le travail en obstruant le bas des poumons de notre brave cuisinière lors de la construction de la-dite cheminée. Pour couronner le tout, j’ai « pris » mon premier PV uruguayen en allant chercher des pièces de rechange à Montévidéo, soit la modique somme, ou encore un tiers de salaire moyen uruguayen, de plus de deux milles Pesos !… pour charge mal signalée à l’arrière du pick-up…
- Mais comme dans tout les bons romans, tout se termina bien, les solutions furent toutes trouvées et nous avons ainsi pu faire la nique à tous ces dieux un peu taquins.
- La morale de l’histoire : le bleu vient toujours après le gris… et… lorsque Cupidon a planté ses traits, rien ne peut détruire une autre paire de la Génèse.

CG

Una brizna de pena en el paraiso…
- de una aurora a un crepusculo, pequeñas nubes aparecieron para recordarnos que en este bajo mundo, estos vendavales son necesarios para que tomemos conciencia de nuestra felicidad.
- Todo comenzo por un arañazo del dios del mar, un tal Neptuno, con una averia de la bomba de agua. Agua tan necesaria… puesto que es nuestra Señora Tierra que nos la ofrece de su profundidad bienhechora (deliciosa ademas !). Luego, para acentuar esta primera inquietud, fue Zeus que se puso a trabajar provocando un corto circuito… hubo que encontrar el origen del problema antes de hacer callar al maestro de la energia. Pensabamos que todo habia terminado, desgraciadamente o quizas menos mal, segun por donde se mire… cuando Eolo tambien hizo de las suyas, (él o una diabilla espina que obraba a su servicio) pinchando una de las ruedas de mi tractor. Volcano, que no se queria quedar atras, cuando quisimos prender nuestra cocina a leña por primera vez, la hizo echar humo por todos sus poros, a tal punto que una espesa niebla desagradable invadio nuestra cocina, comedor y living. Despues de muchas gesticulaciones, verificaciones y reflexiones, un poco de « escalada » en la chimenea, como dirian nuestros amigos « Savoyards », constatamos que los obreros deben de haber obstruido los pulmones de nuestra cocina cuando construyeron la « teorica » chimenea. El colmo de los colmos fue recibir mi primer multa uruguaya yendo a buscar repuestos a Montevideo, por la modica suma de mas de dos mil pesos (casi un tercio de un salario uruguayo) por carga mal señalada en la parte trasera del pick up.
- Pero como en todas las buenas novelas, todo termino bien, las soluciones fueron encontradas y pudimos hacerle « un dedo » a todos estos dioses rompequinotos.
- La moral de la historia : el azul vuelve siempre despues del gris… y … cuando Cupido lanza bien sus flechas, nada puede destruir otra pareja de la Génesis.

Pido disculpas por la traduccion… y ni me animo a traducir al inglés. Yvonne

1 commentaire:

  1. La vie est semée d'embuches, on a meme l'impression parfois que le sort s'acharne sur nous.
    Ne laissons pas le découragement nous envaillir, de la gestion de ces petits tracas naissent des solutions bonnes ou mauvaises, simples ou compliquées, au final et avec le temps on en ressort grandit !
    Le monde moderne nous y a malheureusement mal préparé !

    Mr le S.....

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